samedi 22 septembre 2012

On my Wishlist {2}


Samedi dernier, j'ai (déjà !) un brin zappé de participer au rendez-vous de la Wishlist,  initié par Book Chick City et repris en français par Chica’s Booksland, et que j'ai moi-même découvert chez MyLouSybelline ! Pour ma décharge, j'avais prévu de parler des Trois lumières de Claire Keegan, mais entre temps ce petit livre a aterri dans ma BAL ! Ca ne valait plus le coup :)
Alors cette semaine, je vais parler de :
L'Île des oubliés de Victoria Hislop, paru aux éditions des Escales.

Résumé éditeur :
Saga familiale bouleversante et plaidoyer vibrant contre l'exclusion, L'Ile des oubliés a conquis le monde entier avec ses personnages inoubliables. Traduit dans vingt-cinq pays, vendu à plus de deux millions d'exemplaires, ce roman d'évasion plein d'émotion et de suspense nous emporte au large de la Crète, sur une île au passé troublant.
Alexis, une jeune Anglaise, ignore tout de l'histoire de sa famille. Pour en savoir plus, elle part visiter le village natal de sa mère en Crète. Elle y fait une terrible découverte : juste en face se dresse Spinalonga, la colonie où l'on envoyait les lépreux... et où son arrière-grand-mère aurait péri.
Quels mystères effrayants recèle cette île des oubliés ? Pourquoi la mère d'Alexis a-t-elle si violemment rompu avec son passé ? La jeune femme est bien décidée à lever le voile sur la déchirante destinée de ses aïeules et sur leurs sombres secrets...
«Au-delà d'une odyssée familiale riche en émotions et en rebondissements, une véritable leçon de tolérance.» The Times
Victoria Hislop est diplômée de littérature anglaise de l'université d'Oxford. Son premier roman, L'île des oubliés, a connu un immense succès international et s'est vendu à un million d'exemplaires dans son pays, en Angleterre. Il a fait l'objet d'une série télévisée très populaire en Grèce. Victoria Hislop vit avec son mari et leurs deux enfants dans le Kent.
Pourquoi ce livre :
Je l'avais repéré dans un catalogue de France Loisirs... Malheureusement pour moi, je ne suis pas une adepte du système, et j'ai donc du ronger mon frein en découvrant que c'était une exclusivité à l'époque ! L'autre jour, j'ai enfin vu cette édition "normale" en me promenant entre les rayons de la Fnac...
Je suis depuis toujours une grande fana des sagas familiales, j'adore... De plus, le paysage de la Crète me fait rêver (et la couverture pour le coup ne me laisse pas en reste, quelle magnifique mer pastel !!)...
Il va falloir que je parte à sa recherche... Copines chez France Loisirs, ou bibliothèques... Ou attendre sa sortie en poche, il n'en sera que meilleur !

samedi 15 septembre 2012

Les enfants de la nuit de Franck Delaney

"Trois ans que Madeleine a été assassinée sans que la police ne découvre le moindre indice. Nicholas Newman, le seul homme qu'elle ait jamais aimé, était leur seul suspect. Et voilà que les Ikar, un couple de Hongrois, ramène Nicholas trois ans en arrière avec une simple photo. Dessus, une tour Eiffel en améthyste. Celle-là même que le tueur avait dérobé à Madeleine. Un objet unique auquel elle tenait par-dessus tout. Une piste vers le passé d'une femme dont il ne savait, en fait, rien. Une plongée dans l'horreur d'une des périodes les plus sombres de l'Histoire."
[résumé éditeur, chez Pocket n°14712, impr. 2011, isbn : 978.2.266.21044.7]

Étonnamment (je n'avais pas du lire le résumé jusqu'au bout, ce n'est pas possible autrement !), en achetant ce livre, je n'avais pas compris que l'intrigue tiendrait une place importante sous la Shoah. J'étais à mille lieux de penser me retrouver dans l'Allemagne d'Hitler, aussi j'ai eu au départ un peu de mal à entrer dans l'histoire...
Frank Delaney est assez fort pour nous faire vivre un autre versant de cette tragédie : ce n'est pas au milieu des camps que l'on se retrouve, mais au sein d'un Institut Familial, où les Nazis ont cherché à étudier ce qui faisait la force des familles juives... Ils ont retenu 4 familles et les ont observé nuit et jour dans leur plus grande intimité, comme des animaux en cage. Le contexte du roman en lui-même se situe dans les années 90, nous allons donc suivre les conséquences de cette "étude".
Le problème, c'est que je n'ai pas du tout adhéré au caractère du héros principal, Nicholas Newman... Le roman fait bien ses 500 pages, et j'ai eu l'impression de l'entendre se plaindre tout du long : pauvre petite chose fragile...! La situation difficile dans laquelle il se retrouve embriguadé ne met qu'encore plus l'accent sur son horrible égoïsme ! Et alors bonjour la libido, Monsieur n'est pas capable de penser avec sa tête et se retrouve dans le lit d'une femme qu'il pense liée au Mal... Pfffff !

Ce n'est que vers la fin que j'ai retenu quelques petites phrases :

"J'adore tous ces gratte-ciel. Si nous autres européens admirons dans nos cathédrales la façon dont elles imitent le déploiement des arbres dans la nature, les architectes de New-York ont grandi les yeux levés sur une forêt de séquoias géants." p. 418
"Nous qui tapissons notre vie d'achats consolateurs, ces sucres d'orges de la conscience, nous ne savons rien de l'anéantissement de la vie par des moyens -et par des êtres- barbares." p. 429
"Sur le trottoir, nous tombâmes dans les bras l'un de l'autre. Etais-je encore anglais ?" p. 545

Il y a à la troisième de couverture, une publicité pour le nouveau thriller de Frank Delaney, Les enfants de la peur... Me demande si à l'occasion je me laisserais tenter... Mais c'est toujours Nicholas Newman le héros ! A voir !

vendredi 14 septembre 2012

TAG-tag

Aujourd'hui, je vais m'amuser à répondre à un petit Tag trouvé sur la caverne aux livres de Laety :

Quel est le livre...


1- Que j'ai particulièrement aimé ? 2- Qui ne m'a pas plus ? 3- Qui est dans ma PAL ? 4- Qui est dans ma wish-List ? 5- Auquel je tiens ? 6- Que j'aimerais vendre ou troquer ? 7- Que je n'ai pas terminé ? 8- Dont je n'ai pas parlé sur ce blog ? 9- Qui est une lecture commune ? Oups... je n'en ai paaaas !

samedi 8 septembre 2012

On my wishlist {1}


Aujourd'hui est un grand jour...
Celui où j'essaye de m'immiscer l'air de rien dans la blogo-litt', d'en reprendre les codes et les coutumes ! Je découvre, je découvre...

Et j'apprends que le samedi, il y a un petit évènement hebdomadaire qui s'appelle "On my wishlist"... Un rendez-vous crée par Book Chick City et repris en français par Chica’s Booksland, et que j'ai moi-même découvert chez MyLouSybelline. Je me lance !
Il y a pas mal de références dans ma wish-list, mais pas mal d'entre elles datent de Mathusalem... ce qui fait que je ne sais plus vraiment pourquoi elles se sont retrouvées là !! Alors je vais commencer par une valeur sûre !

Je reviendrai avec la pluie, de Takui Ichikawa, parut initialement en version française chez Flammarion.

Résumé éditeur :
Depuis la mort de sa femme Mio, Takumi vit seul avec son fils Yûji, âgé de six ans. Il gère le quotidien et l'éducation de son fils du mieux qu'il peut. Une seule chose le fait tenir, la promesse faite par Mio qu'elle reviendrait avec la pluie. Le premier jour de la saison humide, cette promesse se réalise. Durant six semaines, le temps se suspend pour Mio et Takumi. En 2003, plus de trois millions de lecteurs japonais tombent amoureux de Je reviendrai avec la pluie. Suite à son immense succès, le livre a inspiré un film et une série télé encensés par la critique, ainsi qu'un manga sacré best-seller. Takuji Ichikawa défend une vision idéalisée de l'amour et met au service de cette histoire bouleversante une écriture d'une sensibilité rare, poétique et pleine de fantaisie.


Pourquoi ce livre :
Je ne sais plus où je l'ai vu la première fois... Dans une sélection de romans sans doute (je suis friande des petits catalogues proposés par les éditeurs et les libraires !)... Je ne me rappelle pas avoir déjà lu un roman japonais, et déjà cet exotisme me fait rêver.
Ensuite, je trouve la 4ème de couverture alléchante : j'aime les histoires de famille, et j'aime les histoires de famille un peu tristes... Visiblement ici, il y aurait de quoi être servi !
On apprend que le livre a été adapté, et j'adore lire un livre et découvrir ensuite la vision que d'autres créateurs en ont eu ! Un bon point supplémentaire.
La couverture ensuite, me plait... J'aime à me dire que nos chers disparus nous observent ainsi, assis sur une chaise dans les nuages...

Et pourquoi je ne l'ai pas encore lu ?
Je préfère attendre qu'il sorte en poche, pardi !